Questions à poser lors d'un traitement
Les traitements d'infertilité peuvent être si techniques (jargon médical compliqué) que certains couples se sentent rapidement perdus et dépassés.
Au plus vous serez à même de comprendre le traitement, au plus vous aurez une sensation de contrôle.
Voici quelques questions à soumettre au spécialiste qui vous suit pour mieux comprendre votre parcours.
Questions générales sur le traitement
- Combien de cycles sont conseillés pour chaque option de traitement envisagée ?
- Quel est le délai entre les différents cycles de traitement le cas échéant ?
- Dans quelle mesure l’âge affecte-t-il notre calendrier ?
- Quelles sont les chances d'obtenir une grossesse pour chaque option de traitement ?
- Combien coûteront les différentes options de traitement proposées ?
Questions sur les tests et procédures de laboratoire
Si une procédure ou un test est prévu, vous devez vous poser les questions suivantes :
- Quel est le but de ce test ?
- Où et quand aura lieu le test ?
- Le test est-il douloureux ? Il y a-t-il un médicament à prendre avant ou après le test pour soulager la douleur ?
- Quel est le délai nécessaire avant de connaître les résultats de test ? Comment interpréter les résultats ?
- Le cabinet médical appelle-t-il les patients pour leur faire part des résultats du test ?
- Combien coûte le test ?
Questions concernant les médicaments
Les réponses à ces questions aident les couples à comprendre les médicaments prescrits :
- Quel est l'objectif des médicaments prescrits ?
- Quand dois-je prendre les médicaments prescrits et à quel dosage ?
- Quel est le mode d'administration du médicament? Quelles sont les conditions de conservation du médicament (mettre au frigo, à l'abri de la lumière….) ?
- Quels sont les effets secondaires éventuels ?
- La prise de ce médicament implique-t-elle des restrictions liées au sport, à certaines activités, à certains aliments et boissons, faut-il respecter un timing précis dans la prise du médicament ?
- Les médicaments sont-ils entièrement remboursés ou faut-il payer un supplément complet ou partiel ? Si c’est le cas, à combien s’élève la participation personnelle ?